L’infaillibilité de la Parole de Dieu dans le baptême du Saint-Esprit

« Cependant, certains l’ont reçu et ont cru en lui, il leur a donné le droit de devenir enfants de Dieu » Jean 1 :12
Ce passage biblique rappelle que le pouvoir de la foi en Jésus-Christ, la foi en la Parole du Dieu Créateur destinée est ce qui permet à un individu de se libérer des jougs le liant aux ténèbres afin qu’il passe vers la lumière, se débarrassant ainsi de cette nature favorable à la transgression de la loi pour enfin recouvrer la nature nouvelle, encline à la puissance divine. Elle seule est capable de déraciner les mauvaises semences implantées dans le cœur de l’homme afin d’y labourer de meilleures semences.

Le baptême de l’eau, le passage préliminaire et obligatoire dans la vie éternelle

Perçu comme un rite dans la religion chrétienne, actuellement le baptême de l’eau se décline en plusieurs formes résultant de la diversité des dogmes. Cette pluralité du baptême est pourtant rejetée par la Bible qui ne reconnaît qu’une seule forme, le baptême par immersion. En effet, Jean- Baptiste avait pour mission principale d’indiquer à son auditoire le chemin menant au salut, en insistant sur les fruits de la repentance, caractérisés par un changement de comportement et de mentalité. (Matthieu 3 :8)
Cette condition révèle déjà que le baptême devrait s’effectuer ainsi sur des personnes dotées d’une conscience éclairée et non fébrile, car l’engagement vers le baptême est en fait irrétractable et elles ne peuvent revenir en arrière. Car le risque du manque de maturité des fruits pouvant est qu’elle pourrait altérer la décision initiale et finalement mener à la perdition.

Le baptême de la repentance n’est, rappelons-le, la conséquence raisonnable à l’appel de Dieu à revenir vers Lui, et les fruits devraient prendre racine dans le cœur et l’esprit de la personne appelée.

Le lien intrinsèque entre le baptême de l’eau et le baptême du Saint-Esprit

« Moi, je vous baptise dans l’eau, en signe de votre changement de vie. Mais quelqu’un vient après moi : il est bien plus puissant que moi et je ne suis même pas digne de lui enlever les sandales. C’est lui qui vous baptisera dans le Saint-Esprit et le feu. » Matthieu 3 :11

Prédicateur et prophète, Jean-Baptiste annonçait d’ores et déjà à son public que Jésus aurait l’autorité de baptiser du feu ceux qui auraient produit des fruits de la repentance en se faisant baptiser d’eau. Par cette action, Jésus en déversant Son Esprit Saint, certifiait la valeur du baptême de l’eau et confirme ainsi la garantie de figurer parmi les héritiers du Royaume de Dieu. Une certitude palpable durant la vie terrestre de ceux qui offrent leur vie à Dieu.
L’absence du baptême du Saint-Esprit dans la majorité des entités religieuses est donc un sujet d’interrogation : ce rite ou sacrement si perpétré de manière habituelle ne correspondrait-il donc pas aux attentes de Jésus ?

Quid des églises qui respectent le sabbat, dont l’essence remonte à l’existence d’Adam et Eve et ne saurait ainsi être réservé aux Juifs ?

Le baptême du Saint-Esprit, un présent céleste destiné à toutes les nations

Avant son ascension dans les cieux, Jésus avait redonné courage à ses disciples en leur promettant l’envoi du Saint-Esprit car ils avaient déjà été baptisés d’eau. (Actes 1) Mais Il ajoute également qu’à leur tour, ils devraient prêcher l’Evangile dans toutes les contrées du monde, indiquant par-là que l’œuvre salutaire ne se limitait pas qu’aux Juifs et que les étrangers, avec qui ils ne pouvaient entretenir une simple relation ou communication, pouvaient finalement y prétendre. Car avant de déverser le Saint-Esprit, Jésus avait procédé à une action visant à obtenir la rédemption éternelle pour le monde entier.

Sa promesse s’est d’ailleurs accomplie avec célérité car, le jour de la Pentecôte, l’assemblée des croyants avait été baptisée, apposant les signes manifestes du Saint-Esprit.

Jésus n’est pas venu pour appeler des justes, mais des pécheurs. C’est en ayant la foi en Lui que l’on peut espérer obtenir rédemption et être finalement justifiés : être lavé de tout péché, nettoyer son cœur et son esprit pour être digne de porter le sceau du salut divin, le Saint-Esprit. Car en être l’heureux possesseur nous fait découvrir Sa grâce en long et en large, ses promesses et ses dons sont irrévocables, prémices de cet héritage impérissable et incorruptible qui attend ceux qui ont reçu les enseignements sans failles.

Enseignement tiré de la prédication de l’Apôtre Benjamina du 14 Novembre 2020 (Centre de prière FMFOI Ampefiloha)

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« Et cet évangile du royaume sera prêché dans la terre habitée tout entière, en témoignage à toutes les nations ; et alors viendra la fin. » (Matthieu 24:14)

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