Extrait de l’Interview avec l’Apôtre Benjamina lors de la clôture de la fête Pascale – 10 avril 2015

Radio (R): L’église vient de célébrer la fête pascale, comment vous sentez vous Apôtre?

Apôtre Benjamina (AB): Cette pâque ci, j’ai rendu visite à de nombreux centres de l’église dans les regions à travers Madagascar, le sabbat j’étais à Mahajanga (une grande ville à l’ouest de Madagascar), dimanche j’ai prêché à Antsirabe (une ville des hautes terres à 3h de voyage en voiture de la capital sur l’axe sud), et lundi à Fianarantsoa (une autre grande ville dans le sud sur les hautes terres), mercredi   à Ambatondrazaka (une ville des hautes terres mais plus à l’est de Madagascar). Un prêche de réconfort qui a amplifié la foi et Durant lequel la presence divine se sentait, justifiant la pâque et les fêtes que nous avons observe.  Il y a eu un peu de deception à la clôture parce qu’un port d’offrande était prévu mais cela n’a pas été realisé, toutefois la présence divine se faisait toujours ressentir, c’est cette presence qui est la plus importante. L’on a senti que la foi est bien vivante.

 

R: La promesse pour cette pâque a –t- elle été justifiée: “Efa nomen’ny herin’Andriamanitra antsika ny zavatra rehetra”?

AB: Nous vivons la puissance de Dieu tout au long de l’année, à travers les dons spirituels, les ouvres de Dieu, tel les cas d’une femme qui ne pouvait enfanter après prière, elle a accouché. La puissance de Dieu est déjà en ceux qui croient toute l’année mais n’est pas à demander. Cette puissance de Dieu fait la force de l’église, une puissance offerte gratuitement sinon elle ne sera pas spirituelle. A Fianarantsoa par exemple, une personne cloué au lit pendant un an sait aujourd’hui marcher.

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