Les trésors cachés du chemin de la repentance
En ce jour de sabbat 09 novembre 2019, les disciples en apprentissage biblique marchent vers la fin de leur parcours, le passage obligé qui leur permet de prendre de la hauteur quant à leur engagement personnel du baptême. Après avoir reçu les grandes bases de l’enseignement de la Bible qui répondent au mieux à la parole de Jésus disant « recherchez premièrement le royaume de Dieu et sa justice, et tout le reste vous sera donné par-dessus tout » , les oints avaient trouvé bon de leur révéler l’utilité d’endurer ce chemin de repentance avant le baptême, et quels seront les trésors qui attendent sur chaque lieu de passage.
Le vêtement de l’incorruptibilité
Le premier axe que le converti doit prendre, c’est surtout le chemin opposé à Babylone, le lieu de destination de la colère ardente du Dieu vivant. Toujours dans cette volonté d’annoncer la venue du Christ, les oints n’ont pas hésité à prévenir que les églises préférant se réfugier dans la pérennité de leurs œuvres, se disant être suffisamment saintes pour ne plus à devoir se repentir, connaîtront elles-aussi la fureur de Jéhovah. De plus, vivant dans un millénaire qui rassemble tous les signes de la fin du monde, prendre Jésus-Christ comme son personnel sauveur est la seule voie du salut. Puisque le jour du Seigneur sera redoutable, Il viendra avec du feu pour consumer comme de la paille tous ceux qui ne porteront pas la marque du baptême de l’eau et du Saint-Esprit. Mais ce feu donnera l’assurance à ceux qui se seront repentis, car au lieu de brûler comme de la chaume, ils seront comme l’or pur qui ne se carbonise pas dans l’épreuve de la combustion. Ainsi, celui qui aura persévéré dans la repentance, sera revêtu du vêtement de l’incorruptibilité, le protégeant de la colère de Dieu.
L’oasis de la consolation
Il est clair que les efforts du marcheur lui donnent soif, et que sur le chemin, il cherchera un point où se désaltérer. Dans la traversée du désert avec Dieu, il y a toujours eu une oasis d’espoir et de réconfort, car dans la réflexion personnelle, le pécheur pourrait se dire qu’il est indigne au salut éternel, car il porte le poids de ses iniquités, et c’est là que Dieu intervient. La Bible foisonne des paroles de fortifications, on retiendra au cours de cette journée la vision d’Ézéchiel sur les ossements d’os desséchés d’Israélites qui remplissaient toute une vallée (Ézéchiel 37). Cette vision explique que tous ceux qui n’adorent pas Dieu sont semblables à des ossements desséchés qui ne peuvent se régénérer que par les paroles de Dieu. Dans son pardon, le Seigneur envoie un serviteur pour évangéliser sur ces ossements afin qu’ils reprennent vie et qu’ils se tiennent debout. Dans un autre verset d’Ézéchiel 36:25-27, on trouve aussi la notion de paroles purifiantes qui lave toutes sortes d’iniquités et qui permettent aux hommes de pouvoir disposer d’un cœur et d’un esprit nouveau, aptes à l’adoration de Dieu. Celui qui se désaltérera par la parole de Dieu trouvera la consolation qui mène à la réconciliation, et la force d’arriver au bout du chemin de croix.
L’art et la manière de trouver Dieu
Le Seigneur a dit « Je me laisserai trouver par celui qui me cherche ». Or combien ont cherché, mais n’ont pas réussi, car en le cherchant avec leur chair et sans parole de Dieu, ils se sont arrêtés en mis parcours, ou bien ont choisi d’emprunter une fausse piste. La Bible, est donc comme une boussole complexe qu’il faudra savoir manipuler. Savoir la lire, se repérer grâce à elle, l’interpréter de façon juste et méthodique fait partie de l’art et la manière de trouver Dieu. C’est à travers la Bible que l’on peut communiquer avec Dieu puisqu’elle renferme les secrets qui font la force et l’onction d’une prière fervente, rythmée, alliant les connaissances bibliques et l’inspiration par l’Esprit, nécessaires pour savoir prier en esprit et en vérité, comme le Christ l’avait prescrit.