FIN DES FESTIVITES PASCALES : L’EGLISE EN FÊTE, SOUS LA VIBRATION DES ARRHES DU SAINT-ESPRIT.
C’est dans la plénitude complète que la grâce de notre Seigneur Jésus nous est parvenue en ce dernier jour des festivités de la Pâque. Nous vivons et ressentons cette satisfaction d’avoir été justifiés, sanctifiés, et agréés, par l’accomplissement de la volonté de Dieu, qui est d’honorer Ses festivités dans la soif spirituelle et dans la sincérité entière, étant régénérés en pâtes nouvelles dépourvues du levain du monde, vainqueurs et libérés de l’oppression ; de jouir des fruits du Saint-Esprit, et de célébrer avec les anges et les éléments spirituels, ce jour d’affranchissement spirituel.
Souvenez-vous de ce dernier jour des fêtes, lorsque Jésus était encore parmi les hommes, alors qu’Il n’était pas encore dans Sa gloire, avait prêché ardemment sur le don de l’Esprit ; Il disait aux hommes : « si quelqu’un a soif, qu’il vienne à moi, et qu’il boive. Celui qui croit en moi, des fleuves d’eau vive couleront de son sein, comme dit l’Ecriture. » (Jean 7 : 37 – 38). Au temps de la loi, ces mots étaient incompréhensibles pour les hommes, mais Jésus savait qu’Il se devait de provoquer leur soif du Saint-Esprit qui est la force et le sceau qui marque l’alliance avec l’Eternel Dieu, afin que la circoncision de chair ne soit plus, mais à la place, la circoncision du cœur manifestée dans le baptême de l’eau et de feu. Il voulait que les hommes désirent l’Esprit de Dieu afin qu’ils puissent recevoir l’affranchissement spirituel et la force de la réjouissance dans la persévérance.
Jésus-Christ savait que les vertus de l’Esprit étaient bénéfiques pour l’homme, et les prophètes qui avaient aplani le chemin du Seigneur, avaient prophétisé sur le don de l’Esprit, afin que toute personne croyant en Dieu ait l’ardeur suprême de l’acquérir. C’est pourquoi Jean-Baptiste exhortait les juifs, en assurant que le baptême de repentance était nécessaire, certes, mais Celui qui venait après Lui était plus puissant que Lui, parce que c’est Lui qui baptisera du Saint-Esprit et de feu. Jésus, après sa résurrection, avait à nouveau promis le don tant attendu, à ses disciples en les préconisant de rester encore quelques jours à Jérusalem.
Mais vous recevrez une puissance, le Saint-Esprit survenant au milieu sur vous, et vous serez mes témoins tant Jérusalem, qu’en toute la Judée t dans la Samarie, et jusqu’au bout de la terre. (Actes 1 :8).
Une force, en effet, qu’ils avaient reçu alors au jour de la Pentecôte, afin qu’ils puissent propager l’Evangile et préparer l’Eglise au retour du Messie.
C’est ce baptême de feu, devenu réalité depuis le siècle des premiers apôtres, qui fait le secret du salut et de l’accomplissement spirituel ! Ce baptême du Saint-Esprit décrit comme la réception d’un vent impétueux, d’une langue de feu spirituel, se poser et entrer en une personne, pour la faire renaître dans le feu de l’Esprit, accordant un fleuve de vie jaillissant de son sein, est différent du baptême de l’eau donné par l’homme, puisqu’il est bien plus grand, car il est donné par Christ Esprit vivant dans Sa gloire éternellement ! Fausses sont ces doctrines qui prétendent que les deux baptêmes sont équivalents, c’est un signe majeur d’absence du Saint-Esprit véritable ! Ainsi, grande est l’opportunité en ce jour pour tous ceux qui désirent de connaître cette expérience et qui veulent obtenir la grâce suprême venant de Dieu et non des hommes, de porter le sceau qui marque l’entrée certaine à la vie éternelle ! « Que celui qui a soif vienne ; que celui qui veut prenne, de l’eau de la vie, gratuitement ! » (Apocalypse 22 : 17).
A l’heure où nous parlons, nous sommes témoins de l’importance d’obtenir ce baptême de feu et nous faisons foi de prêcher son don, car nous récoltons toujours ce que nous avons moissonné il y a plus de vingt ans, tant dans nos œuvres, et tant dans le succès de l’Eglise qui est ornée d’une gloire bien plus grande qu’à celle de ses débuts. Nous qui avons commencé dans les rues et les places des marchés, qui avons refusé les enseignements des hommes, rejetant de consommer toute impuretés, pour n’aspirer qu’aux révélations de l’Esprit. Nous qui avons cherché dans les jeûnes, les délivrances, les nuits de prières, à accomplir les seules volontés de Dieu décrites dans la Bible, nous avons été exhaussés par le fait que la vérité ait été donnée aux enfants, et par le fait que le don de l’Esprit nous ait été accordé pleinement, continuant d’opérer au milieu de nous, dans les révélations de nouveaux enseignements bibliques, les dons spirituels, et la richesse de nos offrandes. Il nous a même rémunéré dans la fierté de ce que la prophétie d’Esaïe a été accomplie sur nous, nous qui sommes fiers de clamer que la vérité s’est répandue de notre île et qu’elle ait rempli les nations, faisant vibrer les peuples de Dieu de réjouissances, en attendant le retour du Seigneur dans les nuées du ciel.
A ceux qui n’ont pas reçu ce don précieux, Dieu aime ceux qui l’aiment et ceux qui le cherchent le trouvent, Il accordera Son Esprit à quiconque s’approche de Lui dans l’humilité de cœur ! C’est dans la réjouissance que nous vous invitons à fixer Dieu et de persévérer dans la quête su Saint-Esprit, pour mériter l’affranchissement et la réjouissance dans le Père, le Fils, et le Saint-Esprit.
Enseignement tiré de la prédication de l’apôtre Benjamina, au septième jour des fêtes des pains sans levain, le 12 avril 2023.