Nouvelle lune d’octobre 2019: Ziona FMFOI livre les secrets de sa pérennité spirituelle
La célébration de cette nouvelle lune du 28 octobre 2019 a été marquée par le passage de l’Apôtre Benjamina à Antsirabe, venu spécialement fêter avec les fidèles d’Antsirabe, l’anniversaire de la trentième année de pérennité de l’Église ZIONA FMFOI. Malgré le jour ouvré, beaucoup de fidèles et de nouveaux venus ont souhaité honorer la sainte convocation de Dieu. Par habitude ou par la foi, le témoignage de chacun était de trouver la guérison et la victoire que promet Dieu à travers ce jour saint considéré comme un sabbat par la Sainte Ecriture. Il est rare aujourd’hui de trouver des églises célébrer cette fête, la trouvant désuète et d’appartenance judaïque. Or, l’église Ziona FMFOI y trouve goût à la célébrer chaque mois : et si le secret de sa force spirituelle commençait par là ?
Si le culte a été accompli dans l’ensemble dans la prosternation, à la recherche de la sanctification et la purification pour partager la Sainte Cène, avant de clôturer par la louange, le prêche de l’Apôtre Benjamine, quant à lui, avait pour but d’ouvrir l’esprit de l’assemblée en ce qui concerne la question à laquelle il s’était posé depuis sa conversion en Christ, il y a trente ans de cela. Une question simple qui interroge sur la raison pourquoi il existe toujours autant de disparités au sein des églises chrétiennes contemporaines, alors qu’elles lisent toutes la même Bible, et que cette même Bible décrit qu’une seule église et non plusieurs, sera la Fiancée de l’Agneau : pourquoi, par exemple dans la plupart des églises dites “sabbatistes”, où les lois et les commandements de Dieu sont préservés, le baptême du Saint-Esprit et les dons spirituels n’existent toujours pas, tandis que des églises du dimanche, quant à elles, reçoivent des manifestations spirituelles sans même respecter les lois de Dieu. Dans ces deux cas, la situation est anormale, pire, aucune d’elles ne possèdent les critères de la Fiancée décrite dans le Livre Saint. Dans son analyse, le Serviteur de Dieu s’est laissé tenter de revenir sur son parcours pionnier, au commencement de sa quête de la vérité, quand lui-même allait confronter plusieurs mouvements chrétiens, pour trouver la réponse à la dite question qui suscitait visiblement le gêne de ses confrères, et qui faisait parallèlement révéler au grand jour, les failles cachées de plusieurs confessions chrétiennes. C’était de cette manière que le frère Benjamina, à l’époque, avait choisi de diriger l’Église dans le respect ferme des lois et des commandements de Dieu tels décrits dans la Bible, à commencer par le sabbat du 7e jour (samedi), et de se mettre au défi de recevoir le don de l’Esprit, jusqu’au jour où il recevra, huit ans plus tard, le baptême du Saint-Esprit, qui s’est alors vite répandu sur l’assemblée, avec l’arrivée de multiples dons spirituels dont celui de la prophétie, pour devenir jusqu’à ce jour la première église apostolique sabbatiste complète en œuvre et en dons, au profil semblable à l’église des premiers apôtres, et à celle décrite dans la Bible.
Le deuxième secret qui a permis la montée en puissance spirituelle de l’Église apostolique, c’est aussi l’enseignement de base qui affirme que Jésus-Christ est le souverain sacrificateur, qui est entré au jour de la première Pentecôte, dans le lieu très saint non fait de main d’hommes, et accomplir l’expiation des péchés de toutes les nations en un seul jour, pour venir ensuite s’asseoir à la droite du Père, entrant ainsi dans Sa gloire en tant que Roi des rois, Seigneur des seigneurs, et digne de répandre le Saint-Esprit sur toute chair pour les baptiser du Saint-Esprit, comme promis aux prophètes de l’Ancien Testament, et aux apôtres. De cet argument découle l’importance du respect de l’œuvre de Moïse qui, selon Hébreux 3:5, avait défendu la maison de Dieu (qui symbolise l’arche de l’alliance qui renfermait les tables de la loi), car cet œuvre de Moïse, qui consistait à faire respecter les commandements de Dieu, annonçait sous forme d’ombre, l’Évangile de Jésus-Christ, qui sera transmis aux apôtres pour l’Église, et aux disciples afin qu’ils la répandent à travers toute la terre. « il est regrettable pour les églises de se détourner des œuvres de Moïse, disait l’Apôtre, car elles ne pourront jouir des grâces de l’Esprit ! Tandis que nous qui avons suivi les œuvres de Moïse, nous jouissons pleinement à ce jour du résultat de ses œuvres : la réception de tous les dons spirituels nous permet d’être irréprochables devant le Seigneur, ce qui nous donne l’avantage de toujours trouver des sujets de conversations auprès de notre Dieu ! ». Il sous-entendait par là la multiplication des dons spirituels et la force de la prophétie qui ont permis à l’Église de briller à travers des prophéties justifiées en faveur du salut de la nation, de la vie spirituelle et quotidienne des croyants. De plus, le jaillissement intarissable des dons spirituels dans l’Assemblée prouve que l’Esprit de Dieu reconnaît le comportement de l’Église qui croit en son appel à travers la prophétie d’Esaïe, qui parle de la vérité surgissant des îles (Esaïe 51:5), et qui a réussi, aujourd’hui, à répandre la vérité à travers tous les continents. Enfin, le fait de s’appuyer sur le verset 1 Jean 2:6 déclarant que « celui qui dit qu’il demeure en lui doit marcher aussi comme il a marché lui-même » conforte à l’idée de maintenir le respect des lois et des commandements, et surtout de s’éloigner des contradictions des églises contemporaines, en vue de mieux se distinguer aux yeux de l’Époux. Pour clore sa prédication le Parent a conseillé les fidèles de servir le Seigneur à cent pour cent à partir des dons et de la foi qu’ils détiennent déjà en eux, afin de tirer un profit bien plus grand, par la fructification des dons et de la foi, car on le sait bien, à celui qui est fidèle en peu de chose, on lui confiera beaucoup, d’après la parabole des talents enseigné par le Seigneur Jésus (Matthieu 25:21).