30 ans dans l’œuvre du Seigneur : Les critères d’identification de l’Eglise-Fiancée du Christ
Après la récente célébration de la Nouvelle Lune, l’Eglise FMFOI s’est, une fois de plus, retrouvée fortifiée par les paroles de l’Apôtre Benjamina. En effet, ce sabbat 02 novembre, c’est aux membres de l’Eglise d’Ivato qu’il a rendu visite dans l’intention de partager sa conception sur les 30 ans de l’Eglise mais également sur les perspectives d’avenir.
La considération de cet anniversaire n’est pas à prendre à la légère : il mérite d’être largement honoré par tous les fidèles, car au bout de ces nombreuses années, l’Eglise peut finalement se prévaloir et se réjouir de porter le titre tellement envié de Fiancée du Christ. L’Apôtre Benjamina a effectivement rappelé qu’à la différence des autres églises, l’Eglise avait reçu le baptême collectif du feu de l’Esprit, le 05 décembre 1996. Un événement qui a profondément changé l’état spirituel de l’Eglise, car depuis ce jour, le Saint-Esprit continue à se déverser sur les membres. C’est ainsi qu’elle a gagné la faveur de Dieu qui l’a raffermie avec les divers dons spirituels et, rendent l’Eglise vivace. Dans ces faits, elle s’apparente donc « aux petits » à qui Dieu a décidé de révéler la vérité. (Luc 10 :21). Alors qu’elle remplit tous les critères spirituels- en dons et en justice, une problématique s’est posée devant les circonstances certaines annonçant le Retour du Christ : si Son retour s’assimile à la venue d’un voleur, inattendue et brusque, que doit posséder le fidèle pour être reconnu par Son Maître ?
Le Serviteur de Dieu est resté catégorique dans ses explications : le baptême du Saint-Esprit reste le seul moyen de prétendre à la citoyenneté céleste. En réalité, le sceau de l’Esprit constitue l’élément d’authentification de l’Eglise mais uniquement s’il est complété par d’autres facteurs d’identité comme l’observation du Sabbat, de la Nouvelle Lune, de la Pâque et de la Pentecôte. Le désir de servir Dieu dans la justice s’était extrêmement ancré dans le cœur du Parent qui avait fini par découvrir la Pâque et de la Pentecôte authentiques, également des piliers du progrès de l’Eglise.
Jusqu’à ce jour, les fruits de l’œuvre de l’Apôtre Benjamina profitent d’une part, à l’Eglise comblée de tous les dons spirituels mais d’autre part, à tous les fidèles qui ont accès à la grâce divine. Car, les périodes de jeûnes accompagnées de puissantes prières ont perfectionné la voie de l’Eglise pour que le Royaume de Dieu puisse réellement être instauré en son sein. D’ailleurs, la prospérité de l’Eglise se manifeste également par sa présence dans les autres régions du monde, avec des fidèles qui prônent et défendent avec ardeur la vérité que Dieu a accordée généreusement à l’Eglise.