10 ans d’Apostolat : Retour sur dix (10) années de travaux.
Le 23 mars 2013, le pasteur Benjamina accède officiellement au titre d’apôtre, un an après avoir été appelé par la prophétie. Clôturant quinze ans de ministère pastorale, l’Église FMFOI devient alors la première église sabbatiste au monde, à s’ériger sur un fondement d’apôtres et de prophètes, Jésus-Christ la Pierre Angulaire selon Éphésiens 2 : 20. Une décennie plus tard, quelles sont les œuvres de cette onction inextinguible, qui est le moteur d’une évangélisation sainte, pure, et justifiée.
2013 : un « rallye » apostolique.
Sans plus tarder, l’Esprit de Dieu envoie l’apôtre sur les routes, par des visites apostoliques à travers toute la Grande Île, en vue de fortifier les églises et de leur transmettre l’onction fraîchement reçue. Des expéditions parfois périlleuses, aux sentiers battus, qui rappellent combien le chemin de l’évangélisation est parsemé d’embûches. Mais si la tâche était laborieuse, les miracles et des bénédictions qui fleurissaient sur les lieux visités, en étaient la rémunération. Parallèlement, l’arrivée au pouvoir du 7 et 8eme roi, révélé par l’Apocalypse 17, était célébré cette même année. Coïncidence diront les incrédules, un signe de la fin des temps répondront les fidèles, une chose est sûre, c’est que l’un a été appelé pour relever la vérité au monde, par le nom de Jésus, l’autre sera pour amener les hommes à la perdition.
2014 : enseignements et révélations bibliques.
Les personnes baptisées sous l’ère apostolique témoignent à combien les enseignements donnés durant les sessions d’études bibliques, étaient facilement assimilables, comparé à l’ère pastorale, et suffisamment percutants pour pouvoir se convertir. En effet, plusieurs doctrines voyaient le jour en cette année 2014, et elles détonnaient toutes dans le sens où elles avaient été prêchés nulle part, et pourtant elles figuraient dans la Bible. Le 21 décembre 2014, l’apôtre faisait entendre aux oreilles de tous, et gratuitement, les mystères indécelables de l’Apocalypse, notamment, sur l’identité de la Bête, de l’impie qui est le 7e et 8e roi, la signification du tarissement du fleuve L’Euphrate et du mystère autour des princes du soleil levant, l’explication quant aux révélations de Daniel 7:25 : des doctrines qui avaient été traduites en langues étrangères, et qui avaient réveillé beaucoup d’âmes à produire des fruits de la repentance.
18-19 avril 2015 : dédicace du palais des prières, de louanges, et de miracles, Ambohimamory.
« La gloire de cette dernière maison sera plus grande que celle de la première », déclarait l’Éternel dans Aggée 2 : 9. Une prophétie qui seyait à l’Église Apostolique FMFOI, qui a rebâti un deuxième Palais là où se trouvait la première, concrétisant l’engagement de rebâtir sur des fondements antiques, à l’image d’un apostolat bâtisseur. Si l’inauguration du Palais 2 avait donné une liesse de joie pour tous les fidèles, elle a été un élément déclencheur d’une succession d’inaugurations de nouveaux temples et d’églises, dans toute l’île.
2016 : des premiers événements publics, au miracle de Gédéon, et les baptêmes aux Seychelles.
Les grands événements organisés dans les grands espaces publics, avaient changé le regard des gens sur la FMFOI. En effet, au lieu de trouver une secte aux mœurs étranges dans l’imaginaire collectif, tous avaient vu une église puissante, par la taille, comme par l’onction, par l’ardeur de la prière, par la force des louanges, par l’amour sincère envers Dieu. Cet amour mutuel avoué au grand jour lors d’un culte au Gymnase Mahamasina, mais surtout à la Pâque 2016, au Coliseum (Antananarivo – Madagascar), où beaucoup de cœurs avaient été touchés par la grâce de Dieu, et avaient pu voir de leurs propres yeux les manifestations du Saint-Esprit.
Le déploiement de la force de Dieu s’opérait littéralement lors des premières caravanes évangéliques, qui défilaient dans la capitale d’Antananarivo, secouant les forces des ténèbres mêmes dans leurs retranchements.
Quelques mois plus tard, le Seigneur envoie le signe dans le jardin de l’apôtre, un miracle similaire à celui de Gédéon, le 14 juillet 2016. On se souvient encore des images où l’on voyait la cour divisée en deux parties, la première était sèche, et l’autre était tout humide, jusqu’aux feuilles des arbres. Un miracle qui s’était répété deux jours plus tard. Cette manifestation merveilleuse confortait l’apôtre quant à la légitimité de son appel, et de son apostolat.
Une année remplie de gloire spirituelle donc sur l’Île de Madagascar, une vérité rayonnante qui ne pouvait plus se contenir en une seule nation. La voix puissante de la foi s’est mise à gagner les îles voisines de l’Océan Indien, jusqu’aux Seychelles. Lorsque l’apôtre avait entendu le témoignage de reconversion des frères seychellois, il traversa alors l’océan pour accomplir le premier baptême apostolique, sur une terre étrangère, et baptiser au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit en décembre 2017. En souvenir de cette grande victoire évangélique, et en référence à la capitale de l’Archipel, il nomma ce baptême Victoria.
2017 : une onction en marche pour le développement, le début de l’évangélisation en langue étrangère.
Les visites apostoliques s’enchaînaient alors, et dans tous les lieux visités par l’apôtre, des miracles se manifestaient, des villes et des villages se désenclavaient miraculeusement. Beaucoup de témoignages remplissaient les ondes de la radio FM FOI. L’évangile à l’international a donné du zèle aux frères, et participaient au grand Diabe (défilé), pour commenter la célébration en langue française : une grande première pour l’église malagasy. l’ouverture de la prêche apostolique, au monde entier, a donné du zèle à l’apôtre de montrer à tous, les réjouissances des festivités pascales, au moyen des médias.
2018 : une Pâque mondiale avec la célébration des vingt ans de l’Eglise.
Vingt ans d’existence déjà, et l’Eglise avait reçu bien plus de richesses spirituelles que les églises qui avaient vu le jour bien avant elle. A Dieu seul soit la gloire qui avait permis à ce que deux serviteurs, apôtre et prophétesse, aient pu œuvrer pour préparer l’Eglise à l’avènement de Christ. Ainsi, des hommages étaient célébrés à Dieu qui a permis à ce que par l’appel d’un homme et d’une femme, beaucoup de gens puissent devenir des enfants de Dieu, à l’image d’Abraham et de Sarah qui étaient l’essence du peuple d’Israël. Le verset d’Esaïe 51:2 était le thème de célébration d’une église comblée, baignant dans des onctions vivantes, avec le Saint-Esprit qui ne laisse pas le peuple de Dieu orphelins.
L’évangélisation en langue étrangère portait ses fruits, beaucoup de nationalités avaient entendu les enseignements apostoliques par les médias et décidaient de faire vœu de foi à Dieu. L’apôtre rappelait que dans ce présent siècle il n’y avait plus ni grec, ni juif, que Le Seigneur ne faisait acception de personne, mais plutôt reconnaissait son peuple par un seul baptême, un seul Dieu, une seule église. Aussi, ce qui marquait cette année-là, c’était une Pâque célébrée à Madagascar comme à l’étranger, à travers un seul culte filmé en direct, diffusé sur toute la terre. Le résultat de cet amour d’un dieu unique, a favorisé l’appel à l’onction de plusieurs frères.
2019 : Pâque internationale, l’onction des diacres étrangers, prophétie annonçant une maladie planétaire.
C’était lors de la Pâque 2019, que le monde a réalisé le résultat de l’évangélisation dans un ministère apostolique. À l’image des premiers apôtres qui ont pu convertir de Jérusalem jusqu’en Turquie, passant par la Grèce jusqu’en Italie, c’était ainsi que l’on a pu voir défiler fièrement les drapeaux de toutes les nations qui avaient accepté le salut du Christ. Ainsi les Malagasy toutes ethnies représentées, avaient pu apprécier la venue de fidèles européens, arabes, créoles, américains, venus célébrer la Pâque et les fêtes des pains sans levain, « sur la terre comme au ciel », à l’image du peuple céleste venant de toutes les nations et de toutes langues, célébrer le nom de Jésus. Par cette occasion de retrouvailles, l’appel à l’onction a consacré plusieurs frères à tenir un ministère dans leurs pays respectifs, et ainsi, être des branches greffées à l’apôtre, pour combattre le bon combat de la foi. C’était également lors de cette année que l’Esprit de Dieu annonça l’arrivée d ‘une pandémie qui va toucher le monde entier.
2020 : le covid , la prophétie depuis l’Île Maurice, les œuvres de charité.
Pendant que la pandémie de coronavirus a mis toute la planète en confinement total et a stoppé les rassemblements en tout genre, l’évangélisation, elle, n’a fait que s’adapter à la situation. Pâque en Goshen (en référence à la ville de Goshen où vivaient les Israélites esclaves en Egypte), était l’occasion pour l’apôtre de rappeler, par des prêches en radio, comment le Seigneur a préparé son peuple au temps difficile, mais que grâce soit rendu à Dieu qui a consacré son peuple à être un peuple de sacrificateurs, une nation sainte. C’est par cette fortification que l’église a pu entrer dans une Pâque, confinée physiquement, certes, mais libre par l’affranchissement du Saint-Esprit qui avait transformé les craintes, en liesse de joie. Quand le déconfinement s’était annoncé, les visites apostoliques reprirent, et c’était ainsi qu’en se rendant à l’Île Maurice, les fidèles reçurent avec joie, la prophétie dans leur centre de prières. D’un autre côté, l’église s’est mise à grandir en notoriété, une occasion pour l’apôtre de travailler sur l’aspect social et environnemental. D’où les œuvres de réhabilitation d’écoles primaires, des actions de reboisements, de la création d’une branche de scoutisme pour les jeunes de l’église.
2021 : Inaugurations des lieux de prières. Églises officielles au Canada et en France. Mise en garde contre les soi-disant juifs.
L’année 2021 était une année riche en offrandes, notamment des dédicaces de lieux de cultes partout sur l’île de Madagascar, et à l’étranger, les fidèles avaient pu célébrer la reconnaissance de l’Église FMFOI sur le sol canadien et français. Toutefois, l’apôtre fustigeait fortement un mouvement séducteur qui prônait le retour à la foi hébraïque, qui cherchait à duper les faibles de foi.
2022 : Partager la lumière à l’aube d’une ère sombre. L’appel général à l’évangélisation.
Bien que vivant dans la paix du Christ, les croyants étaient tout de même impactés par les bouleversements socio-économiques, telles que l’inflation et la guerre en Ukraine qui tendait vers une guerre mondiale. Face à ces fléaux, les prédications de l’apôtre restaient inébranlables, puisqu’il affirmait que l’on allait vers l’accomplissement de ce qui était prédit dans l’Apocalypse 16, quant au tarissement du fleuve L’Euphrate pour le passage des rois d’orient. Une prédication censée à revigorer la foi des justes, et d’encourager les hommes à fixer Jésus devant l’accomplissement des prophéties: Advienne que pourra, viens Seigneur Jésus, Maranatha! L’onction apostolique étant censée être partagée à toute l’église, le serviteur de Dieu rappelle une fois de plus, le rôle de chaque chrétien à prendre le chemin de la croix et évangéliser partout, avec la force et les dons spirituels acquis, assurant que demain sera meilleur qu’hier.
2023 : Une onction puissante qui met encore l’Église sur de nouvelles vibrations.
Esaïe prophétisait dans le verset 51,
« les îles espèreront à moi » .
Si l’apôtre Jean a été missionné depuis l’île de Patmos, pour écrire le livre de l’Apocalypse, l’apôtre Benjamina, quant à lui, va être l’outil de Dieu pour faire jaillir la vérité de l’île, de Madagascar, pour la faire diffuser dans tous les continents. Dieu a envoyé les signes, et a approuvé son serviteur aux yeux de tous, au moyens de plusieurs miracles. Dix ans d’onction apostolique qui ont préparé l’Eglise à se vêtir de fins lins pour les Noces de l’Epoux. En ces dix ans, la vérité renaît de ses cendres, et les fondements antiques relevés. Dix ans d’onction apostolique qui booste l’église à maintenir le cap de la Nouvelle Jérusalem, et de rester juste, sainte, et agréée par Dieu.